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Bienvenue

Ce blog est un lieu d'information sur les problèmes d'anxiété, de dépression et toutes autres difficultés psychologiques et les traitements existant pour ces troubles. Avec une volonté d'optimisme et de dédramatisation, dans l'optique de la psychiatrie positive.

Il ne s'agit en aucun cas de donner des conseils médicaux personnels.

Les informations données ici sont les plus objectives possibles, mais reflètent forcément les points de vue de l'auteur.

   Bonne lecture et n'hésitez pas à laisser des commentaires ou des questions.

L'auteur

Antoine PELISSOLO, psychiatre

4 juin 2006 7 04 /06 /juin /2006 08:33

1. Traitement à prendre tous les jours

       (ne pas sauter de prises, il s'agit d'un traitement de fond)

2. Posologie prescrite à respecter rigoureusement

       (les doses sont adaptées à chaque personne; trop basses ou trop élevées, les effets ne

        pas satisfaisants)

3. S'attendre à une apparition progressive des effets au cours des quatre premières semaines

       (certains symptômes peuvent s'améliorer plus tôt, mais l'amélioration globale réelle 

       prend quelques semaines) 

4. Poursuivre le traitement au moins six mois s’il est efficace

       (l'arrêter avant expose à un risque de rechute très net)

5. Poursuivre le traitement même en cas d’effets secondaires précoces, s’ils sont tolérables

       (la plupart des effets secondaires initiaux - nausées, fatigue - disparaissent en

       quelques  jours) 

6. Contacter le médecin, notamment par téléphone, en cas d’effets secondaires gênants et avant d’arrêter les prises

      (des conseils simples peuvent être suffisants pour gérer ces effets secondaires)

7. Prévenir le médecin des effets secondaires durables (poids, effets sexuels, …)

     (ils sont rares mais potentiellement gênants, donc n'ayez aucune honte à en parler pour avoir des solutions, plutot que d'arrêter le traitement...)

8. Ne pas arrêter brutalement le traitement

     (sauf urgence, un arrêt progressif sur quelques semaines est toujours préférable)

9. Ne pas conduire de véhicule en cas d’effets sédatifs

     (si votre vigilance n'est pas bonne ou que vous vous sentez ralenti, évitez tout risque et

     parlez-en à votre médecin)

10. Prévenir le médecin en cas d’idées suicidaires

     (son travail est de vous aider dans ces situations angoissantes)

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15 décembre 2005 4 15 /12 /décembre /2005 09:10

Communiqué de presse de l'Agence du médicament (mars 2006)

"L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) diffuse une Mise au point sur le bon usage des antidépresseurs au cours de la dépression chez l’enfant et l’adolescent destinée aux professionnels de santé. Ce document rappelle que le traitement de première intention des troubles dépressifs est psychothérapique. La mise en place d’un traitement médicamenteux est possible dans certaines situations particulières, mais elle doit être accompagnée d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire".

Une recommandation raisonnable puisqu'elle incite à la prudence dans cette tranche d'âge, sans exclure la possibilité de prescrire dans certains cas difficiles à soigner autrement.

Pour plus de détails : http://afssaps.sante.fr/htm/10/filcoprs/060301.htm

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28 novembre 2005 1 28 /11 /novembre /2005 05:59

Pour les médecins :

Risque élevé de rechute dépressive durant la grossesse en cas d'arrêt du traitement.

JAMA. 2006 Feb 1;295(5):499-507.

Relapse of major depression during pregnancy in women who maintain or
discontinue antidepressant treatment.

Cohen LS, Altshuler LL, Harlow BL, Nonacs R, Newport DJ, Viguera AC, Suri R,
Burt VK, Hendrick V, Reminick AM, Loughead A, Vitonis AF, Stowe ZN.

Perinatal and Reproductive Psychiatry Clinical Research Program, Department of
Psychiatry, Massachusetts General Hospital, Harvard Medical School, Boston, Mass
02114, USA. lcohen2@partners.org

CONTEXT: Pregnancy has historically been described as a time of emotional
well-being, providing "protection" against psychiatric disorder. However,
systematic delineation of risk of relapse in women who maintain or discontinue
pharmacological treatment during pregnancy is necessary. OBJECTIVE: To describe
risk of relapse in pregnant women who discontinued antidepressant medication
proximate to conception compared with those who maintained treatment with these
medications. DESIGN, SETTING, AND PATIENTS: A prospective naturalistic
investigation using longitudinal psychiatric assessments on a monthly basis
across pregnancy; a survival analysis was conducted to determine time to relapse
of depression during pregnancy. A total of 201 pregnant women were enrolled
between March 1999 and April 2003 from 3 centers with specific expertise in the
treatment of psychiatric illness during pregnancy. The cohort of women was
recruited from (1) within the hospital clinics, (2) self-referral via
advertisements and community outreach detailing the study, and (3) direct
referrals from the community. Participants were considered eligible if they (1)
had a history of major depression prior to pregnancy, (2) were less than 16
weeks' gestation, (3) were euthymic for at least 3 months prior to their last
menstrual period, and (4) were currently or recently (<12 weeks prior to last
menstrual period) receiving antidepressant treatment. Of the 201 participants,
13 miscarried, 5 electively terminated their pregnancy, 12 were lost to
follow-up prior to completion of pregnancy, and 8 chose to discontinue
participation in the study. MAIN OUTCOME MEASURE: Relapse of major depression
defined as fulfilling Structured Clinical Interview for DSM-IV [Diagnostic and
Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition] Diagnosis (SCID)
criteria. RESULTS: Among the 201 women in the sample, 86 (43%) experienced a
relapse of major depression during pregnancy. Among the 82 women who maintained
their medication throughout their pregnancy, 21 (26%) relapsed compared with 44
(68%) of the 65 women who discontinued medication.
Women who discontinued
medication relapsed significantly more frequently over the course of their
pregnancy compared with women who maintained their medication (hazard ratio,
5.0; 95% confidence interval, 2.8-9.1; P<.001). CONCLUSIONS: Pregnancy is not
"protective" with respect to risk of relapse of major depression. Women with
histories of depression who are euthymic in the context of ongoing
antidepressant therapy should be aware of the association of depressive relapse
during pregnancy with antidepressant discontinuation.

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19 novembre 2005 6 19 /11 /novembre /2005 14:30

Article paru dans le magazine « Femmes d’aujourd’hui » (27 octobre 2005)

Interview du Dr Antoine Pelissolo par Anne Deflandre

1. Comment savoir si on souffre d'une dépression ou d'un simple coup de blues ?

2. Faut-il d'office prendre des médicaments ?

3. Existe-t-il de nombreux traitements médicamenteux? Comment savoir lequel peut convenir à son cas personnel?

4. Comment savoir si le traitement est efficace ou s'il vaut mieux en changer?

5. Y a t-il des effets secondaires ?

6. Faut-il en parler à l'entourage ?

7. Doit-on prendre ce traitement toute sa vie ? Comment s'organise le sevrage?

8. Les ados et les femmes enceintes ou allaitantes peuvent-ils prendre un traitement? 

9. Peut-on envisager des traitements alternatifs et lesquels (psychothérapie, relaxation, oméga 3...)?

 1. Comment savoir si on souffre d'une dépression ou d'un simple coup de blues ?

           Dans le doute, il vaut mieux pêcher par excès de prudence que par négligence. Consulter son médecin traitant voire un thérapeute psychologue ou psychiatre peut toujours être bénéfique, même pour être rassuré. Les médecins se basent sur plusieurs types de critères pour définir un état pathologique : l’intensité de la souffrance (pas un simple vague à l’âme), sa durée prolongée, et les conséquences qui en découlent. Si vous êtes très triste, angoissée, désespérée, épuisée depuis plus de 15 jours quasiment en permanence, si vous n’avez plus le goût à rien, si vous avez perdu l’appétit et le sommeil, si vous vous trouvez nulle et laide, si vous n’arrivez plus à vous concentrer sur un travail ou une lecture, si vous pensez qu’il vaudrait mieux en finir, vous êtes très probablement dans une phase dépressive. Mais la plupart des dépressions ne sont pas heureusement aussi graves, et quelques-uns de ces symptômes peuvent « suffire » à définir une dépression pathologique, quand ils sont prolongés et qu’ils retentissent sur la vie quotidienne. En tout cas, il ne faut pas se baser sur les circonstances extérieures pour juger de l’état d’une personne : qu’il existe ou non de « bonnes raisons » d’aller mal, l’essentiel est de savoir si la personne souffre de manière excessive ou non. Le meilleur critère pour confirmer un état dépressif est le constat d’un changement complet, d’une véritable rupture par rapport à son comportement et sa personnalité habituelle.

 2. Faut-il d'office prendre des médicaments ? 

 

             Il est recommandé aux médecins de ne pas prescrire de médicament antidépresseur après une seule consultation, et cela pour plusieurs raisons. D’abord, comme je l’ai dit, le diagnostic peut être difficile et il vaut toujours mieux vérifier l’état de la personne à plusieurs jours d’intervalle. Les dépressions légères ne nécessitent pas de traitement médicamenteux, et une prise en charge psychologique peut être beaucoup plus utile. Il est nécessaire d’être en confiance avec le médecin qui prescrit le traitement, et qu’il en ait expliqué l’intérêt et les effets, cela peut prendre plusieurs rendez-vous. Pour autant, il ne faut pas dramatiser une prise éventuelle d’antidépresseur : si elle est encadrée médicalement, si elle s’intègre dans un ensemble d’éléments de soins plus larges, et si on se sent en confiance, les chances de guérir sont maximales. Comme les médecins n’ont pas toujours le temps nécessaire pour répondre à toutes les questions que l’on se pose, j’ai pensé utile d’écrire un guide d’accompagnement et de familiarisation à l’égard de ces médicaments.

 3. Existe-t-il de nombreux traitements médicamenteux? Comment savoir lequel peut convenir à son cas personnel?

          Il ne faut pas confondre les différentes familles de médicaments psy, qui ont des utilisations et des effets très différents : les antidépresseurs, les anxiolytiques, les somnifères, les neuroleptiques et les thymorégulateurs. Pour ce qui est des antidépresseurs, il en existe une dizaine que les médecins prescrivent actuellement couramment, et ils sont classés en 3 ou 4 types. Le choix du traitement adéquat pour une personne donnée doit vraiment être fait par un médecin car il dépend de nombreux critères individuels et précis. Il ne faut surtout pas décider d’un traitement sous prétexte qu’il a fait du bien à une personne que l’on connaît et qui semblait souffrir du même mal.

 4. Comment savoir si le traitement est efficace ou s'il vaut mieux en changer?

            Il faut attendre au moins deux ou trois semaines pour juger des effets d’un antidépresseur. Les améliorations apparaissent en général progressivement et dans un ordre variable : d’abord moins d’anxiété, puis le retour des envies, de l’appétit, du sommeil, etc. Le but est de retrouver toutes ses capacités et ses réactions normales, mais ceci est rarement obtenu avant un mois ou deux. Si rien ne change, ou que l’amélioration est insuffisante après un ou deux mois, il est nécessaire de discuter d’un changement de médicament avec le médecin. Il est parfois utile d’essayer 2 ou 3 antidépresseurs pour trouver celui qui convient bien à une personne donnée. Mais l’erreur très souvent commise est d’arrêter le traitement trop tôt de son propre chef, alors que les effets thérapeutiques auraient pu apparaître un peu plus tard.

 5. Y a t-il des effets secondaires ?

             Les antidépresseurs actuels sont dans l’ensemble plutôt faciles à prendre et bien tolérés. Environ 15% des patients ont des effets secondaires plus ou moins gênants. Certains apparaissent très tôt, dès les premiers jours, et disparaissent en général assez rapidement même en continuant à prendre le médicament. Il s’agit le plus souvent de nausées, de somnolence, d’anxiété ou de difficultés à dormir. D’autres effets secondaires peuvent cependant persister sur des durées plus longues, voire tout au long du traitement : des troubles sexuels (diminution de la libido, retard à l’éjaculation) et une prise de poids notamment. Il faut signaler ces problèmes au médecin car ils peuvent assez souvent être améliorés. Dans tous les cas, les effets secondaires, que l’on ne peut pas prévoir pour une personne donnée, disparaissent lorsque le traitement est arrêté.

 6. Faut-il en parler à l'entourage ?

             Les problèmes psychologiques et les médicaments qui les traitent font encore l’objet, malheureusement, de certains tabous, ce qui peut entraîner des réactions de rejet de la part de certaines personnes. Vous avez le droit de considérer ces problèmes comme très personnels et ne pas en parler si vous craignez ce genre de réactions, notamment quand vous allez le plus mal. Cependant, quand les choses commencent à s’améliorer, il peut être bon d’expliquer ce qui est arrivé pour ne pas rester sur des malentendus et préserver de bonnes relations ultérieures. La dépression ou l’anxiété ne sont pas des tares ni des fautes, elles peuvent toucher tout un chacun (environ une personne sur cinq) aucune culpabilité n’est justifiée. Lorsqu’une personne qui va très mal ne parvient pas à s’en sortir seule, et quand elle s’expose à des risques graves, il est indispensable d’impliquer l’entourage.

 7. Doit-on prendre ce traitement toute sa vie ? Comment s'organise le sevrage?

            Lorsqu’il est efficace, un antidépresseur doit être pris au moins six mois pour éviter les rechutes. Lorsque la personne a déjà souffert de plusieurs dépressions longues et répétées, le traitement peut être poursuivi plus longtemps. Il faut cependant savoir que les antidépresseurs, contrairement aux anxiolytiques, n’engendrent pas de dépendance. Il est possible de les arrêter quand on le décide avec le médecin, sans réel problème. Le choix du moment de cet arrêt est important (après plusieurs mois de rémission et en dehors d’une période de stress), et il doit se faire progressivement sur plusieurs semaines. Un arrêt brutal, surtout si la dose était élevée, peut créer des troubles physiques ou psychiques qui disparaissent en quelques jours sans gravité, mais il vaut mieux ne pas procéder ainsi !

 8. Les ados et les femmes enceintes ou allaitantes peuvent-ils prendre un traitement?

            La question des adolescents et des enfants n’est pas facile. La plus grande prudence est de mise car on manque de recul. En premier choix, les psychothérapies sont donc préférables. Cependant, en cas de trouble sévère et persistant, certaines prescriptions sont possibles mais relèvent des spécialistes et d’une surveillance particulière. Pour ce qui est de la grossesse et de l’allaitement, les recommandations générales sont clairement à l’abstention, surtout par prudence. A certains stades de la grossesse, des prescriptions sont cependant possibles mais doivent être faites de manière prudente et décidée au cas par cas.

 9. Peut-on envisager des traitements alternatifs et lesquels (psychothérapie, relaxation, oméga 3...)?

         Les dépressions peu sévères doivent être traitées sans médicament dans un premier temps, surtout par une aide psychologique, de la relaxation, un changement d’hygiène de vie, etc. Les produits présentés comme naturels ou non dangereux doivent toujours être considérés avec prudence : ils ont rarement fait la preuve de leur efficacité, sont parfois coûteux, et peuvent avoir des effets secondaires non annoncés. Il vaut toujours mieux prendre l’avis d’un professionnel, et surtout réévaluer les résultats à des échéances assez proches.

 

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18 novembre 2005 5 18 /11 /novembre /2005 23:27

 

 

 Etes-vous prêt(e) à débuter un traitement par antidépresseur (toujours sur prescription médicale)?

 

Les points favorables

d’un traitement antidépresseur

Les points qui peuvent vous

faire hésiter

 

 

 

- Doit vous permettre de retrouver vos moyens, vos qualités, votre personnalité, votre liberté d’action (et vos défauts !).

 

 

 

- Agit (certains antidépresseurs en tout cas) sur les dépressions mais également différents troubles anxieux ou phobiques.

 

 

 

- Peut accompagner utilement une psychothérapie ou une démarche de soins volontaire et active.

 

 

 

- Est simple à prendre en général, peu contraignant et bien supporté.

 

 

 

- Ne provoque pas de dépendance.

 

 

 

- Peut être arrêté rapidement si vous changez d’avis ou si vous ne supportez pas certains effets (mais parlez-en à votre médecin).

 

 

 

 

 

 

- Nécessite une surveillance médicale, des prises quotidiennes, et une durée de traitement de plusieurs mois.

 

 

 

- Demande parfois un ou plusieurs essais pour trouver le médicament efficace chez une personne donnée.

 

 

 

- Peut provoquer (rarement) certains effets secondaires gênants en début de traitement, et des effets indésirables persistant par la suite.

 

 

 

- N’améliore pas les performances habituelles et ne donne pas plus d’énergie que l’on en a en temps normal (il ne s’agit pas de « psychostimulants » ni de dopage).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 novembre 2005 5 18 /11 /novembre /2005 14:04

Les troubles anxieux sévères se soignent avant tout avec les thérapies comportementales et cognitives (TCC) , mais certains cas peuvent nécessiter la prescription d'antidépresseurs, dont plusieurs ont fait clairement la preuve de leur efficacité dans différents troubles anxieux et phobiques. Contrairement aux anxiolytiques, leurs effets sont progressifs mais durables, comme dans le traitement des dépressions. Ils ne génèrent pas de dépendance ni de syndrome de sevrage, contrairement aux anxiolytiques (benzodiazépines), qui soulagent rapidement mais n'ont pas d'effet de fond sur la pathologie anxieuse.

 

Voici la liste des Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) actuelles des antidépresseurs dans les différents troubles anxieux en France.

 

 

Tr. panique

TAG

Phobie sociale

TOC

ESPT

Paroxétine

(Déroxat®)

oui

oui

oui

oui

oui

Fluoxétine (Prozac®)

 

 

 

 

 

 

oui

 

 

Citalopram et escitalopram (Séropram® ou Séroplex®)

oui

oui

 

 

oui

oui

 

 

 

 

 

Sertraline (Zoloft®)

 

 

 

 

 

 

oui

 

 

Venlafaxine (Effexor LP®)

 

 

oui

oui

 

 

 

 

Duloxétine
(Cymbalta®)


Clomipramine (Anafranl®)




oui

oui

 

 

 

 

 




oui

 

 

 


Trouble panique
TAG = Trouble anxieux généralisé
TOC = Trouble obsessionnel-compulsif
ESPT = Etat de stress post-traumatique

 

 

Tous les détails sur ces traitements sont donnés dans le guide "Bien se soigner avec les médicaments psy".

Les données présentées ici ont pour seul but l'information du public et l'amélioration des soins, dans le respect des connaissances médicales actuelles et des réglementations, avec mention ici de "conflits d'intérêt" potentiels de l'auteur. 

 

 

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10 septembre 2005 6 10 /09 /septembre /2005 07:19

Pour estimer vos éventuels symptomes d'anxiété et de dépression : http://www.medecine-et-sante.com/calculsettests/angoissedepression.html

revenez ensuite sur ce site si vos scores sont élevés !!

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En librairie

 

Vous êtes votre meilleur psy !

Vous êtes votre meilleur psy ! Aller mieux sans divan ni médicament (Flammarion 2017)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retrouver l'espoir : mode d'emploi d'une psychiatrie positive (Odile Jacob 2016)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TOC : la maladie de l'hyper-controle (Le cavalier bleu 2016)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dépression : s'enfermer ou s'en sortir (Le muscadier 2017)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour ne plus être gêné par la peur de rougir

couverture-Pelissolo-Roy.jpg

 

 

 

 

Les phobies à la loupe

phobies

 

 

Pour bien connaitre les médicaments psy

      pelissolo-medicaments-psy-odile-jacob.jpg